Luis Cernuda – Parle-moi, ma mère
« Parle-moi, ma mère ;
Je te donne ce nom car
Aucune femme ne le fut d’aucun homme
Comme tu l’es pour moi.
Parle-moi, dis-moi
Un seul mot en ces jours immobiles,
En ces jours informes
Qui contre toi se dressent
Tels d’amers poignards
Aux mains de tes propres fils. »
Les mères ont appris à se taire, Ren.
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11/25/2011 à 15 h 39 min
Ou soi -même à se taire par rapport à sa mère…
les deux peuvent se faire par l’incompréhension, la rupture des générations, mais aussi par la « réserve »…
Autant d’une autre façon, il peut y avoir un dialogue dans l’espace des possibles ( Tout sur ma mère d’Almodovar, si je me rappelle bien, entre dans ce domaine)..
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11/25/2011 à 18 h 39 min