François Cheng – Suivre l’empreinte de l’oiseau
Mais l’oiseau point d’empreinte
Ne laisse. Son empreinte est
Son vol même. Nulle trace
Autre que l’instant-lieu,
Joie du pur avènement :
Lieu deux ailes qui s’ouvrent.
Instant un coeur qui bat.
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Le défi de l’arabesque aérienne dans toute son apesanteur moqueuse.
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02/05/2012 à 21 h 40 min
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