–
–
–
Au bonjour furtif caressé par les roses
Courbant les flammes des chandelles
Peut-être diras-tu fantôme ou esprit
Celui-ci est le reflet d’une attente
Tant prolongée et désirée
Que les ailes de l’oiseau de nuit
Se heurtent aux vitres des fenêtres closes
Attiré par le courbe de ton profil
Dessiné de profil en contre-jour .
Cet hématome de désir, brisant le silence
S’éclatant sur le verre, à te savoir si proche
D’une épaisseur d’air, et pourtant inaccessible
Ce n’est pas un ciel de combat
Que la vie distante où chacun ressent
L’absence , et de la vie, le manque !
14 mai 2012
–
Art et tique et pique- mots et gammes 
que ces mots sont bien accompagnés par cette photo, les ailes de l’oiseau ne sont pas que sur la robe mais aussi dans les cheveux. Les ailes de l’écriture sont aussi dans les mots des autres, merci pour les échos enchaînés.
J’aimeJ’aime
C’est un peu l’intérêt du partage de susciter des réactions… et si elles sont du même ordre ( poétiques, plastiques)..; c’est faire « avancer le schmilblick, comme on dit…
J’aimeJ’aime
Je n’ai pas bien saisi le sens profond et je vois certaines maladresses, manque de relecture sans doute : « Attiré par le courbe de ton PROFIL
Dessiné de PROFIL en contre-jour . »;;;; »Celui-ci est le reflet d’une attente
Tant prolongée et désirée »…L’attente frustrante – si j’ai bien saisi la suite du poème- n’est pas désirée, ni désirable d’ailleurs…A piocher au fond de soi, on a parfois du mal à faire surgir le juste, le vrai, le poignant du sensible.
J’aimeJ’aime