–
Je, ( lui ), n’attends rien
Sur le quai d’une gare
Une valise triste
Un voyage de peut-être.
Je , un ciel obscurci
posé sur les épaules
Le manteau offert aux assauts du vent
L’intime et l’étranger
Je, en pensées
Futur en douleurs
Se projette demain
Le train qui portera, loin
Je, le petit jour
L’estomac noué
Vers un inconnu,
aux routes d’exil.
–
RC – 20 septemre 2012
–
Nous sommes tous au moins une fois dans notre vie des solitaires .vois dans mon blog mon poème:La solitude..
J’aimeJ’aime
C’est sûr, de toute façon, nous sommes seuls avec nous-même, bien qu’entourés parfois… ceci dit les personnes qui lisent pensent que ce que j’écris est obligatoire auto-biographique, ce qui n’est pas tout le temps le cas… c’était ici en pensant aux expatriés, et d’autre part à la pièce de Beckett, » en attendant Godot «
J’aimeJ’aime
ok là je suis..
J’aimeJ’aime