James Sacré -Toit dans l’ombre (ou lampe) et le temps

Kandinsky – The blue rider
Un grand cheval emporte un pays , le village
( C’est au printemps , un arbre a grimpé son branchage
Au ciel ) ; espace : ah , oui les merveilleux nuages !
Mais rien , que le vent , rien , le bleu du paysage .
Où bondir ? je ramasse un trèfle , des fourrages ;
Ras de terre écorché , escargots , tussilages ,
Un cheval maigre y traîne un précaire attelage .
Où le printemps , les foins ? Où paraît quel visage ?
Un arbre fait quel signe où rougit le village ?
Je le regarde au loin , printemps fleuri , feuillages ,
Taupinière et chardons le soleil , cheval sage …
Et rien , que le vent rien , l’érosion d’un village .
c’est très beau… Mais je pleure ; les poisons tuent encore plus ; en Allemagne, dans des zones protégées, perte de 80 % du poids total des insectes… Et pleurer ne fait pas arrêter (emprisonner ?) les empoisonneurs… Alors je pleure de rage
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05/06/2019 à 5 h 12 min
on pleure avec vous, et ici en Bretagne sur nos plages mangées d’algues vertes
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05/07/2019 à 9 h 26 min