Souvenir d’école – ( Susanne Derève) –
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- François-Xavier Maigre – au loin
- décrire l’impalpable – ( RC )
- Philippe Delaveau – tout est musique
- Gabriela Mistral – Intima
- Photographie – (Susanne Derève) –
- marcher sur l’ombre – ( RC )
- Jean-Pierre Voidies – feu d’artifice
- Gérard Pons – feuilles du repentir
- Mon manège à moi, c’est toi – ( RC )
- Béatrice Douvre – matin d’un vent
- Rabindranath Tagore – les yeux m’interrogent
- L’angoisse des saules – (Susanne Derève) –
- Une habitation vivante – une énigme pour l’architecte – ( RC )
- Nathaniel Tarn – tout tremble dans les trois créations
- Carl Norac – le goût de traverser
- Lespugue – une Vénus parmi nous – ( RC )
- Jacques Mer – L’inexorable ( extrait )
- Tout semble immobilisé – ( RC )
- Jean-Claude Vallin – fleurs de peaux pour Norge
- René Maria Rilke – Le livre d’heures 1899-1903 (extrait)
- Ce qu’il reste derrière l’image – ( RC )
- Sierra de Mulder – comme une fenêtre ouverte
- Un lumineux avril – (Susanne Derève)-
- Jacques Dupin – entre la sauge et le lichen , vers les constellations
- Je reviendrai – ( RC )
- Patrick Cauvin – huit jours en été – extr 1
- Nicolas Deleau – Epiphanies (extraits) –
- Aujourd’hui, j’ai repeint les rideaux – ( RC )
- Prémices – (Susanne Derève) –
- Colette Daviles-Estinès – trop noir – trop blanc
- Jean-Claude Goiri – Complètement sorti de chez moi
- Gérants de la fortune du roi – ( RC )
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Art et tique et pique- mots et gammes
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Pourquoi faudrait-il que les chiens
viennent le mordre ou lui faire peur ?
Ce n’est qu’un oiseau
de papier crépon,
collé maladroitement
dans ce cahier d’écolier ;
l’encre s’est mélangée
à la colle.
Les ailes gardent leurs plumes
funambules d’un récit sans paroles,
comme si tu nous racontais encore
l’histoire de ce merle affolé
le contour de ses yeux dorés
et ce coeur palpitant
entre tes mains
un jour de mai…
Serait-ce dans ce cahier
la cage ouverte,
où l’enfance garde l’odeur de la colle ?
Sous le noir brillant des plumes.
on y distingue encore
la trace d’un pinceau
passé par là
ce jour de mai
où tu as recueilli l’oiseau …
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01/05/2022 à 10 h 28 min
Perruches au vol effarouché qui grignotaient le pin
des huches ,
un vivant arc en ciel
du vert au bleu de Prusse …
Les rimes en étaient pauvres, de pâles fanfreluches
l’assonance une ruse … ainsi ,
comme en son nid l’oiseau cherche refuge …
je renonçais à les nommer
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01/20/2022 à 22 h 57 min