Gerard Pfister – un précipice, un vertige

De quel abîme sors-tu
à chaque instant, dans quel oubli
Tu crois traverser une plaine
assoiffante, déserte et chaque pas
est une source, un précipice
Ah puisses-tu pour seul recours
chérir ton vertige
De quel abîme sors-tu
à chaque instant, dans quel oubli
Tu crois traverser une plaine
assoiffante, déserte et chaque pas
est une source, un précipice
Ah puisses-tu pour seul recours
chérir ton vertige
je m'exprime:haut et foooort