Gustave Roud – Aimé –
Je voyais la douce peau gonflée de muscles encore pâle dans l’ombre de la manche.Ce bras nu, ce bras pur qui apaise l’univers d’une seule caresseLa faux d’Aimé tranche ce corps qui titube entre nous et s’effondresans avoir entendu le nom que je lui rends avec un cri. Viens ! Aimé. Il y a autre chose que le sommeil pour ton corpsrompu par la … Continuer de lire Gustave Roud – Aimé –