Alejandro Oliveros – cartes
Nous sommes des habitantssans rues ni places.Les frontières de cette terrene correspondent pasà nos cartes.Les montagnes sont plus froidesmais moins hautes ;les fleuves plus paisibles,sans boas ni piranhas ;il y a bien des plaines,mais sans sécheresses mortelles,et les mers sont bleues,mais sans raisins sur les rameaux.On ne nous trouvera passur ces cartes ;sur la rose des vents,aucune fenêtre.Nos rivagesse sont perdus, et avec euxnotre nordet … Continuer de lire Alejandro Oliveros – cartes