Près du noyer
prends garde
à l’ombre
l’herbe est profonde
sous tes pas
les œufs fragiles
dans ta main
une barque
attend
derrière le mur
il
est de l’autre côté
depuis l’hiver
quelqu’un
l’a vu
dans le petit matin
au bord du pré
l’eau de vie
brûlait le ciel
les cuivres
ne chanteront plus.
c’est chouette , je n’avais jamais réellement lu R G Cadou
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🙂
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