–
Jouer de la distance, et des horizons lointains,
Une vie qui s’écoule, confirme la sentence,
D’où, chaque jour s’élance,
Le goût du vain.
–
Puisé d’une barrique
Se maintient, par une sorte d’habitude,
Le manque , et la solitude ;
Et elle, toujours identique,
–
…Me tire par la manche,
Je suis trop lourd sans doute, rien ne l’allège,
Et suis, au long des années, couvert de neige,
Comme tu le vois, à ma barbe blanche…
–
RC – oct 2014
Les mots dansent et se répondent harmonieusement et se correspondent et dansent encore…
Et peu importe alors si le sens qu’ils transportent m’échappe un peu,
Leur rythme me réjouit porté la beauté.
J’aimeJ’aime
Merci…
Mais si quand même — ça évoque une séparation, ( donc une solitude)… qui demeure avec le temps, – où la vie s’écoule – et le manque reste – jusqu’à la vieillesse (couvert de neige — barbe blanche )…
J’aimeJ’aime