Si le dehors existe,
Il se passe de son regard
Une barrière d’ombres
Derrière la grille de ses doigts
Qui contient son visage
Peut-être pour protéger l’âme
Des outrages de la vie
Ou bien, comme les chauves souris
Rester suspendu dans une grotte
Enveloppé de ses ailes
A l’abri du noir
A l’image d’un vieux parapluie
Qui ne s’aperçoit pas
De l’aurore boréale
Nimbant la planète
RC – 11 décembre 2012
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J’oserai, amicalement cette digression : Le hérisson se roule en boule pour faire face aux agressions, le lion ouvre sa gueule pour rugir, l’homme se prend la tête. Cela dans la plus totale ignorance de ce qui ne se voit ni ne s’entend.
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Il y a aussi la politique de l’autruche…
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